Anonyme

Bonne découverte dans ce théâtre sympa : un bon moment avec une pièce au sujet très vrai; un peu fort au niveau du son et quelques tirades un peu forcées.

Anonyme

Un peu ennuyeux au départ mais à l’arrivée du gangster ça a réveillé tout le monde. Très bons acteurs.

Eliane HERVE-BAZIN -Paris

Nous avons beaucoup apprécié la pièce de Jacques Lafarge. Ce fut un moment de détente, de finesse avec toutefois beaucoup de questionnements.

Anonyme

Une très bonne comédie sur les préjugés. De quoi passer une excellente soirée

Anonyme

Original et drôle. Cette différence contraste avec bien des préjugés. Dosez de répliques empruntées au théâtre classique à cette pièce contemporaine, vous obtiendrez un cocktail drôle et original.

Anonyme

Original ! Pièce tres sympa. On ne s’attend pas du tout a cela. Sans tomber dans les clichés, les acteurs sont parfaits. A recommander.

Anonyme

Le thème pas facile et pourtant tout est passé en légèreté. Nous nous sommes laissés emporter par le charme du texte, étonnant. Le lieu, la pièce est agréable, à ne pas manquer, merci aux acteurs.

Photo d'illustration du roman Le testament d'Issasara
DISCRIMINATION POSITIVE

LES PRÉJUGÉS VAINCUS PAR LES ALEXANDRINS

Jean-Pierre, chirurgien réputé, désespère de voir un jour son fils s’atteler à un travail « sérieux ». Sa mauvaise humeur ne fait qu’empirer lorsque Sébastien lui présente sa petite amie. Elle s’appelle Yasmina, elle est fonctionnaire et son élocution pour le moins surprenante l’horripile au plus haut point : elle ne parle qu’en alexandrins. Pour lui, c’est un handicap et il pense qu’elle a eu son poste de fonctionnaire au titre de la discrimination positive.
Discrètement, il commence à manigancer un stratagème pour éloigner la jeune femme, mais, alors qu’il semble en passe d’y parvenir, un évènement extraordinaire provoque un huis-clos familial qui remet tout en cause…
Pièce de théâtre écrite en 2007

L’intention de l’auteur

La pièce n’est pas une thèse sur la discrimination positive. J’ai surtout voulu parler de nos réflexes face à la différence. Parler en alexandrins est très différent de la façon habituelle de parler. Objectivement, cela n’a rien de mal. Pourtant, dans la pièce, cette singularité provoque un rejet du père. On comprend bien que ce n’est qu’un prétexte par rapport à d’autres motifs peu reluisants.
Au delà de la question des préjugés, ce qui m’intéresse dans la différence, c’est le fait qu’il ne suffise pas de l’accepter. Il faut la rechercher, la cultiver. La différence est à l’origine de toute action, et de toute création. Sans différence, il ne se passe rien.

Discrimination positive a créée le 4 janvier 2008 au théâtre de Ménilmontant(Paris 20°) dans une mise en scène de William Malatrat.
Vous pouvez visionner une interprétation ci-dessous.