‘Les avis des critiques ayant assisté aux représentations des pièces que j’ai écrites.’

psychanalyrique

Geneviève Fradique-Gardaz pour le Bolero à Versoix

Publié le 15 octobre 2018

Un récital de chant–piano présenté par des artistes connus et très appréciés, c’est convaincant, mais quand il est présenté comme ce soir sous la forme d’un « mini-opéra-bouffe » là, tout change ! Surprise, étonnement se succèdent pour arriver rapidement au charme et à la séduction. C’est ce qu’ont offert Annick de GROM, soprano et Adalberto RIVA pianiste avec leur récital-spectacle « PsychanaLyrique » au publique versoisien des Concerts du Dimanche, le 14 oct. dernier.[…]Ces deux artistes […] nous ont séduit par l’originalité de leur spectacle sachant allier l’humour du texte aux exigences artistiques musicale et théâtrale. Le plaisir a été à son comble lorsque nous avons découvert en fin du spectacle une cantatrice-pianiste et un pianiste-chanteur.

 

Jean-Claude Santier, pour Le billet DES ARTS

Publié le 20 mars 2017

Pour notre plus grand bonheur, Annick de Grom récidive, avec la complicité de Adalberto Riva. Je pèse mes mots : grand bonheur. Joie indicible de l’entendre interpréter Rachmaninov, Dvorak, Verdi, Puccini, Boito mais aussi Bizet, Mozart, Rossini, Strauss, Lehár… Puis RIVA qui nous gratifie d’une virtuose interprétation de Rigoletto transcrit par Liszt. Ce récital a une dimension ludique réjouissante grâce au scénario et la mise en scène de Jacques Lafarge: c’est à la fois beau, drôle et original. Surveillez la programmation de ces deux complices là : c’est à voir et à écouter sans bémol à la clef !

PLANÈTE À VENDRE

Marie-Laure Atinault, pour Webthea
Le spectacle est joli, léger comme un oreiller de plume, on rit beaucoup sur le coup et le lendemain, la musique des « 3 Cigales » nous entête, on réfléchit, sourires aux lèvres, à cette « divine comédie » qui nous fait du bien.

 

Alain Solari, pour France Catholique
Le thème ne manque pas d’originalité et, s’il n’est ni très catholique ni très orthodoxe, son traitement ne sombre jamais dans le mauvais goût.

DISCRIMINATION POSITIVE

Interview sur France ô

Ce nʼest pas une thèse sur la discrimination positive, c’est une comédie sur l’exclusion et les préjugés.[…] Il y a un décalage au niveau du langage qui permet de traiter le sujet de façon légère.

  Jacques Lafarge,

Extrait de l’interview

Liliane Touraine, pour Politiques’Art et Exporevue
L’argument est surprenant et comique : surprenant par cette prédisposition à une expression par alexandrins et drôle par le recours au principe du contraste paradoxal puisque cette « beurette » parle dans une langue française si châtiée qu’elle n’a plus cours. Son langage est plus raffiné, plus culturellement «tradition française» que celui des membres de la famille française (pure laine, diraient les Québécois) qui la reçoit. C’est un argument créatif dans son traitement contre le préjugé, qui peut s’appliquer à bien d’autres situations où un individu n’est vu qu’à travers le collectif de la classe sociale ou du pays dont il est originaire. De cette manière le propos touche à l’intemporel, à l’universel.

Cécile Stroud, pour Artistik Rezo
Chirurgien notoire, [Jean-Pierre] accorde une grande place à la réputation. Alors quand son fils Sébastien lui annonce qu’il compte emménager avec une « beurette » prénommé Yasmina, c’est le drame […] Et il n’est pas au bout de ses surprises lorsqu’il comprend que cette jeune femme a également un problème d’élocution. C’est justement ce « problème » qui va donner à la pièce toute sa drôlerie et son originalité. […] Grâce au traitement agile d’un sujet sensible, Jacques Lafarge apporte une réflexion sur le racisme moderne.

LE COACH MALGRÉ LUI

Estelle Bousquet, pour Paristribu
Le jeu d’acteur est remarquable et le peps qui s’en dégage donne envie de danser et chanter de son siège.

Philippe Bonnet, pour Les soirées de Paris
Les costumes sont extravagants avec une pointe de loufoquerie. La gaieté est de mise de bout en bout, infusée par des comédiens et chanteurs de talent qui semblent s’amuser au moins autant que le public…